un environnement favorable au bonheur

De nombreuses études ont démontré que la nature a un effet positif sur la santé mentale. Ce que vous voyez, entendez et vivez dans la nature peut améliorer votre humeur du moment. Il y a un lien étroit entre le temps passé dans la nature et la réduction des émotions négatives

Malheureusement, l’être humain s’en est éloigné pour habiter dans les grandes villes.  

Dans mon livre « Les Animaux, ces Messagers au grand Cœur » j’évoque la perte de connexion à la nature des enfants mais également chez les adultes. Je le constate très souvent dans les séances de communication avec les animaux et lors de mes stages d’initiation et de professionnalisation.  

Cette absence de lien avec la nature a des conséquences sur la dépression, le trouble du déficit de l’attention, la santé physique, l’obésité infantile et l’inactivité. 

Nos animaux nous demandent de sortir dans la nature, prendre le temps, respirer et regarder la beauté de la nature qui nous entoure. 

Ils savent ce qui est bon pour nous alors écoutons-les et profitons de ces instants pour oublier les soucis du quotidien et se ressourcer de l’énergie que la nature nous apporte. 

Extrait de mon livre « les animaux, ces messagers au grang coeur »

En ville, je m’attardais dans les squares et recherchais le calme des parcs. La ville m’étouffait, son bruit m’assourdissait, je rêvais de papillons, de champs et de forêt… Il me fallait de la verdure ! À chaque fois, qu’avec mes parents nous partions sur les routes, bien calée à l’arrière de la voiture, j’attendais, impatiente, les premiers signes de la nature… La moindre étincelle de vert et mon cœur♥ battait la chamade. Je revivais !

Des semaines sans fin de grisailles dans le béton et enfin, l’herbe, la forêt et les Animaux : le pays imaginaire où les deux pattes et les quatre pattes partageaient le même lieu.

Je ne me posais pas de questions, j’en avais juste besoin. C’était pour moi une évidence. Comment imaginer que dans la tête des autres Humains, ce pays imaginaire n’existait tout simplement pas ?

Pas de questions-réponses mais des dizaines d’années pour me rendre compte que j’étais seule dans ce pays qui pourrait s’apparenter à « La belle verte » en référence au film de Coline

SERREAU 2.

Et voilà comment commence une période importante de l’histoire de ma vie. Paris, Gare du Nord et après quelques heures de train, me voilà enfin dans les Ardennes. Je retrouvais ma famille, les Animaux et surtout Fifi la chienne, les poules, les lapins et le coq que tout le monde pensait fou et agressif et à qui j’avais donné un prénom, Gustave.

J’aimais me promener dans la nature, sur la colline, passer du temps adossée à un arbre, écouter le chant des oiseaux et le vent dans les feuilles, regarder l’herbe pousser, triturer la terre et rêvasser en écoutant le silence de la nature.

À pied ou à vélo, c’est entourée de la nature que je me sen- tais bien, sereine, avançant à mon rythme, au grand dam de mes parents. Je suis totalement dans mon élément et je me sens vivante. Plus fort encore, je me sens légitime…

Est-ce à ce moment que mes sens, ma sensibilité déjà exacerbée, se développent en profondeur ?

Et le jour « J » arrive où pour fêter mon arrivée, ma famille décide de tuer le coq, mon coq.

Je ressens son anxiété, sa détresse. Je l’entends hurler et il me demande de le sauver…

Mon intervention est vaine. Je reste sans voix, meurtrie et dans une totale incompréhension. Mais pourquoi l’ont-ils tué ? Ne l’ont-ils pas entendu les supplier ? Comment ne peut-on pas entendre ses cris, son désespoir, mais surtout son envie de vivre ? De quel droit, sous prétexte de me faire plaisir, pouvait-on lui ôter la vie ?

Les animaux, Ces Messagers au Grand Coeur – CHAPITRE 1

Vous avez des questions ?

contactez-moi par téléphone : 06.52.289.289 je me ferais toujours un plaisir de vous répondre ♥️
Shaïna et les animaux 🐝🦆🐶🐰🐸
error: Ce contenu est protégé !!